
Charles Richebourg est un auteur que l’on connaît (ou l’on devrait connaître) pour l’excellence de ses récits contant les enquêtes du commissaire Odilon Quentin, parus au milieu des années 1950 sous la forme de fascicules de 32 pages au sein de la collection « Mon Roman Policier » des éditions Ferenczi (43 titres auxquels s’ajoutent trois fascicules de 64 pages dans la collection « Police et Mystère 2e série » du même éditeur).
Mais cet écrivain, dont on ne connaît pas le véritable...
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