
On ne le dira jamais assez (même si la plupart des lecteurs s’en moquent) le récit fasciculaire policier doit beaucoup aux éditions Ferenczi qui, parmi les premiers voire même les tout premiers, se lancèrent dans cette aventure à la fin des années 1910 pour concurrencer le succès des traductions des aventures de Nick Carter en proposant celle de son pendant français Marc Jordan.
Fort de ce succès (je suppose qu’il y eut succès puisque 64 épisodes) les éditions Ferenczi poursuivirent sur leur lancée en créant des...
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