16 janvier 2022

Le supplice des Danaïdes

La série fasciculaire « Mister Nobody, l’Homme au masque de satin » fut publiée en 1946 pas les Éditions et Revues Françaises (E.R.F.) sous la forme de 16 fascicules de 16 pages, double colonne, contenant des récits indépendants d’environ 13 000 mots. Elle conte les aventures d’un gentleman cambrioleur londonien et de son fidèle valet Jonas Cobb alias Froggy du fait qu’il a une face de batracien. Le premier ne résiste jamais aux belles jeunes femmes blondes et le second à l’alcool. Les... [Lire la suite]

16 janvier 2022

Mrs Chandley joue du trombone

J’arrive bientôt à la fin de la série « Mister Nobody, l’Homme au masque de Satin », une série publiée, à l’origine, en 1946, sous la forme de 16 fascicules de 16 pages, double colonne, contenant des récits indépendants d’environ 13 000 mots. L’auteur en est Edward Brooker, de son vrai nom Édouard Ostermann, né en 1904 et dont on perd toute trace après 1947. Edward Brooker, avant la Seconde Guerre, signa un grand nombre de romans policiers et d’espionnages puis s’exerça, durant le... [Lire la suite]
09 janvier 2022

Concurrence déloyale

Je poursuis ma découverte des aventures de Mister Nobody, l’Homme au masque de satin, un gentleman cambrioleur né de la plume d’Edward Brooker et m’approche doucement de la fin avec cette 13e aventure : « Concurrence déloyale ». Pour rappel, la série « Mister Nobody, l’Homme au masque de satin », publiée en 1946, comporte 16 fascicules de 16 pages, double colonne, contenant des récits indépendants d’environ 12 000 mots. Mister Nobody, dont on ne connaît pas la véritable... [Lire la suite]
03 octobre 2021

Évelyne

Depuis le succès du héros de papier Arsène Lupin de Maurice Leblanc, au tout début du XXe siècle, les personnages de gentlemen cambrioleurs n’ont cessé de pulluler dans la littérature populaire. Certes, on pourra reprocher aux auteurs un manque d’originalité, ou un manque de scrupules à cloner le personnage d’un confrère, mais ce serait oublier qu’Arsène Lupin, lui-même, est un clone ou, du moins, un personnage inspiré par Arthur J. Raffles (peut-être lui-même inspiré par Rocambole de Pierre Alexis de... [Lire la suite]
29 août 2021

Une traversée mouvementée

En littérature populaire, comme en d’autres matières, les succédanés sont généralement copiés des succès d’années… précédentes. Oui, un peu d’humour, un bref jeu de mots, histoire que mon introduction liminaire (pléonasme) diffère quelque peu des précédentes que j’ai écrites à propos de la même série, de mêmes personnages, du même auteur. La série : « Mister Nobody – l’Homme au masque de satin », une série de 16 fascicules de 16 pages, double colonne, contenant des récits indépendants publiés à partir de... [Lire la suite]
22 août 2021

Scotland Yard subit un échec

« Scotland Yard subit un échec » est le 4e épisode d’une série intitulée « Mister Nobody – L’Homme au masque de satin – gentleman-cambrioleur » que l’on appelle, dans l’intimité, « Mister Nobody », car c’est plus court. Parue en 1946, « Mister Nobody » est composé de 16 fascicules de 16 pages, double colonne, contenant des récits indépendants d’environ 12 000 mots. Les personnages principaux sont Mister Nobody, un gentleman-cambrioleur dont on ignore la réelle... [Lire la suite]
22 août 2021

Le collier de lady Clayworth

Tous les écrivains du monde ne passent pas forcément à la postérité, même ceux qui écrivent beaucoup, même ceux qui vendent beaucoup, c’est le cas, notamment, d’un nombre considérable d’auteurs de la littérature populaire, notamment le fasciculaire, mais pas que. Au mieux, parfois, leurs textes et leurs personnages survivent tant que bien mal, mais rares sont ceux qui, non seulement, sont encore dans les esprits des lecteurs d’aujourd’hui, mais dont, en plus on connaît, en plus de leur bibliographie, un minimum de leur biographie. ... [Lire la suite]