
D’aussi loin que je me souvienne, mais j’ai la mémoire courte, j’ai toujours pris plaisir à manier notre belle langue, que ce soit à l’écrit ou à l’oral, bien que je destinais mon oralité à un public restreint trié sur le store électrique (les volets ne sont plus à la mode) puisque m’exprimer de vive voix devant une foule d’inconnus m’épouvantait.
Depuis, j’ai pris mes aises, aussi bien en faisant danser mes doigts sur le clavier de mon ordinateur qu’en exposant « viva voce » mes arguments pour convaincre les badauds de...
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