02 février 2020

Le danseur de la mort

« Le danseur de la mort » est le 21e épisode de la série « Thérèse Arnaud, espionne française » écrite par Pierre Yrondy. La série conte les aventures de Thérèse Arnaud, alias l’agent C. 25 du Deuxième Bureau pendant la Première Guerre mondiale. Pour accomplir ses missions, elle s’est entourée de fidèles lieutenants dont chacun possède une spécificité : Malabar, le costaud de la bande et également pilote d’avion et de voitures ; Marcel, le chimiste ; Languille,... [Lire la suite]

08 septembre 2019

Une dangereuse voisine

Est-il bien utile de présenter Thérèse Arnaud, alias l’agent C. 25, du Deuxième Bureau, personnage d’espionne de la Première Guerre mondiale créé par l’énigmatique Pierre Yrondy en 1934 et qui vécut plus d’une soixantaine de missions au sein des éditions Baudinière sous un format fasciculaire 32 pages, double-colonne dont chaque récit indépendant s’étalait sur un peu plus de 13 000 mots ? Est-ce tout aussi bien utile de présenter Pierre Yrondy, auteur de littérature populaire qui, en plus de cette... [Lire la suite]
23 décembre 2018

Thérèse Arnaud contre Mata Hari

  « Thérèse Arnaud contre Mata Hari » est le 9e épisode de la série signée Pierre Yrondy et mettant en scène l’espionne française Thérèse Arnaud et ses hommes pendant la Première Guerre mondiale. Je ne m’étendrai pas sur les personnages récurrents (vous pouvez lire mes chroniques précédentes pour en savoir plus) ni sur l’auteur dont on ne sait de toute façon pas grand-chose. Cependant, voici un petit résumé succinct de la série est des personnages. Pendant la Première Guerre mondiale, le... [Lire la suite]
23 décembre 2018

Du sang sur les roses

Thérèse Arnaud, alias C. 25, l’espionne française du Deuxième Bureau, qui œuvra pendant la Première Guerre mondiale, est l’un des deux personnages récurrents créés par l’énigmatique Pierre Yrondy (le premier. Le second étant le célèbre détective marseillais Marius Pégomas). Thérèse Arnaud est une série d’espionnage humoristique (Pierre Yrondy fait du Pierre Yrondy) qui, en 1934, proposa 64 épisodes en fascicules de 32 pages doubles colonnes (environ 15 000 mots). Si chaque histoire... [Lire la suite]