29 janvier 2017

Fièvre au Marais

Tout comme Frédéric Dard et son San-Antonio, Léo Malet et son Nestor Burma se sont avérés, pour moi, des valeurs sûres. Sûres, car, même dans les intrigues les moins intéressantes, le style suffit à me procurer un minimum de plaisir littéraire, ce qui n’est pas le cas de biens des romans actuels. Fièvre au Marais : Par un printemps pourri, Nestor Burma connaît des difficultés financières qui l’obligent à se rendre chez le prêteur sur gages Jules Cabirol. Mal lui en prit, car il retrouve son cadavre.... [Lire la suite]