
Tout comme Frédéric Dard et son San-Antonio, Léo Malet et son Nestor Burma se sont avérés, pour moi, des valeurs sûres. Sûres, car, même dans les intrigues les moins intéressantes, le style suffit à me procurer un minimum de plaisir littéraire, ce qui n’est pas le cas de biens des romans actuels.
Fièvre au Marais : Par un printemps pourri, Nestor Burma connaît des difficultés financières qui l’obligent à se rendre chez le prêteur sur gages Jules Cabirol. Mal lui en prit, car il retrouve son cadavre....
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