
Dans la famille Gignac, il n’y a pas que Dédé, le footballeur au sombrero de l’amer, mexicano-marseillais, avec l’accent qui chante à l’ombre des mariachis.
Non, il y a également Benoît qui a le double avantage de préférer jouer de la main que du panard, et avec une plume qui est bien moins lourde qu’un ballon. Son second atout est de n’avoir aucun rapport avec l’homonyme précité qui n’est pas de Nîmes, mais de Martigues et qui semble plutôt être hétéro.
Non, Benoît Gignac n’est pas marseillais, pas plus que mexicain, mais...
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