
Henry de Golen et l’inspecteur Poncet sont de retour pour ce que j’aurais aimé appeler le meilleur, mais qui, finalement, ne sera qu’un roman très vite oublié.
« Le manoir de la peur » m’avait laissé espérer une amélioration dans la style, l’ambiance et surtout dans le charisme du personnage principal, l’inspecteur Poncet.
Dans « Jacopo le forçat », le rôle du policier se cantonnait à voyager et à flirter avec un des personnages clés de l’affaire. Loin d’être dans du policier pur jus, de Golen nous proposait...
[Lire la suite]